vendredi 24 février 2012

Comment aider les personnes présentant des troubles anxieux

Les troubles anxieux sont communs, ils se retrouvent dans 10% de la population. Et il y a des manifestations d'anxiété qui ne rencontrent pas nécessairement les critères d'un trouble (affection grave entrainant un dysfonctionnement). Ces manifestations sont plus répandues dans la population... Le principal symptôme de l'anxiété, c'est l'évitement.  La personne anxieuse a alors tendance à utiliser cette stratégie pour ne pas subir les symptômes.  La peur de perdre le contrôle, de faire une attaque de panique.

En s'isolant de tous les stimulus potentiellement anxiogènes, elle passe à côté d'expériences très enrichissantes.

Si on évite une situation, c'est qu'on s'attend au pire de cette situation.  On ne tolère plus l'incertitude.  C'est la recherche du "risque zéro" qui est plus une abstraction idéaliste que réaliste.   Dans toutes les situations de la vie, il y à une issue incertaine. La recherche de l'idéal sans risque pousse la personne anxieuse à éviter d’être elle-même, à éviter de s’exprimer sur des sujets où elle pourrait s’exposer à des critiques. Elle évite de prendre son temps pour parler à quelqu’un, de le regarder dans les yeux quand il lui parle. En classe, quand le jeune anxieux ne comprend pas, il n'ose pas poser de question à l'enseignante. Alors l'impulsivité lui fait écrire ou répondre approximativement et après il a honte de ses résultats médiocres et ose encore moins questionner... À l'école, d'autres anxieux développent une attirance envers le perfectionnisme, alors ils ont également tendance à bloquer, même s’ils comprennent la tâche... Adolescent, quand il magasine, comme il ne veut pas déranger la vendeuse, l’impulsivité lui fait acheter des vêtements affreux et après il est mort de honte, car il les porte quand même, car l’anxieux ne veut pas gaspiller son argent et il devient alors anxieux de la réaction du public… Comment aider les anxieux. Pour ma part, je vise à leur donner des moyens techniques de relaxation. Je vous donne ici des adresses qui contiennent des suggestions utiles: http://www.acposb.on.ca/document%20Baya.doc
 http://www.mutismeselectif.org/

Comment aider les personnes présentant des troubles anxieux

Les troubles anxieux sont communs, ils se retrouvent dans 10% de la population. Et il y a des manifestations d'anxiété qui ne rencontrent pas nécessairement les critères d'un trouble (affection grave entrainant un dysfonctionnement). Ces manifestations sont plus répandues dans la population... Le principal symptôme de l'anxiété, c'est l'évitement.  La personne anxieuse a alors tendance à utiliser cette stratégie pour ne pas subir les symptômes.  La peur de perdre le contrôle, de faire une attaque de panique.

En s'isolant de tous les stimulus potentiellement anxiogènes, elle passe à côté d'expériences très enrichissantes.

Si on évite une situation, c'est qu'on s'attend au pire de cette situation.  On ne tolère plus l'incertitude.  C'est la recherche du "risque zéro" qui est plus une abstraction idéaliste que réaliste.   Dans toutes les situations de la vie, il y à une issue incertaine. La recherche de l'idéal sans risque pousse la personne anxieuse à éviter d’être elle-même, à éviter de s’exprimer sur des sujets où elle pourrait s’exposer à des critiques. Elle évite de prendre son temps pour parler à quelqu’un, de le regarder dans les yeux quand il lui parle. En classe, quand le jeune anxieux ne comprend pas, il n'ose pas poser de question à l'enseignante. Alors l'impulsivité lui fait écrire ou répondre approximativement et après il a honte de ses résultats médiocres et ose encore moins questionner... À l'école, d'autres anxieux développent une attirance envers le perfectionnisme, alors ils ont également tendance à bloquer, même s’ils comprennent la tâche... Adolescent, quand il magasine, comme il ne veut pas déranger la vendeuse, l’impulsivité lui fait acheter des vêtements affreux et après il est mort de honte, car il les porte quand même, car l’anxieux ne veut pas gaspiller son argent et il devient alors anxieux de la réaction du public… Comment aider les anxieux. Pour ma part, je vise à leur donner des moyens techniques de relaxation. Je vous donne ici des adresses qui contiennent des suggestions utiles: http://www.acposb.on.ca/document%20Baya.doc
 http://www.mutismeselectif.org/

Réduire l'anxiété par l'hypnose, c'est-à-dire "la relaxation par suggestions de détente"

Mécanisme de l'hypnose L'hypnose c'est-à-dire "la relaxation par suggestions de détente" Dans un livre portant sur les mécanismes de l’hypnose comme méthode de relaxation, des auteurs de différentes universités y rapportent les recherches en neuroscience cognitive. Au chapitre 3, les travaux d’Egner et Raz m’ont particulièrement intéressés. Suite à l’induction d’une relaxation progressive intensifiée par des suggestions hypnotiques, les sujets les plus relaxés présentaient plus de difficultés dans des tâches de conflit cognitif. Dans ces tâches Stroop on demandait aux sujets de diriger volontairement leur attention sur la couleur de mots désignant d’autres couleurs. Comme ceux qui sont plus relaxes y performent moins bien, on en conclue que les suggestions induisent la relaxation en réduisant la connectivité entre le centre frontal de détection de conflit et les centres latéraux ayant des fonctions de contrôle (disruption of functional interaction between medial frontal conflict-monitoring and lateral frontal control functions in hypnosis). Mon interprétation est que pour fonctionner, une séance de relaxation par hypnose doit donc nous amener, progressivement, de plus en plus, à ne nous concentrer que sur des acquis positivement centrés sur d’autres certitudes positives pour nous. La relaxation implique une immersion totale de la conscience dans un champ cognitif libre de tout conflit, de tout problème, de tout irritant possible. Métaphoriquement, nous désembrayons le centre de traitement cognitif volontairement orienté vers les buts et la résolution de problème. C’est tout simplement cela qui produit la relaxation intense qui caractérise l’hypnose.

Référence:

Egner, T. and Raz, A. Cognitive Control Processes and Hypnosis. (2007) In G. Jamieson (ed), Hypnosis and Conscious States: The Cognitive Neuroscience Perspective. London: Oxford University Press 
http://sites.google.com/site/egnerlab/publications

Réduire l'anxiété par l'hypnose, c'est-à-dire "la relaxation par suggestions de détente"

Mécanisme de l'hypnose L'hypnose c'est-à-dire "la relaxation par suggestions de détente" Dans un livre portant sur les mécanismes de l’hypnose comme méthode de relaxation, des auteurs de différentes universités y rapportent les recherches en neuroscience cognitive. Au chapitre 3, les travaux d’Egner et Raz m’ont particulièrement intéressés. Suite à l’induction d’une relaxation progressive intensifiée par des suggestions hypnotiques, les sujets les plus relaxés présentaient plus de difficultés dans des tâches de conflit cognitif. Dans ces tâches Stroop on demandait aux sujets de diriger volontairement leur attention sur la couleur de mots désignant d’autres couleurs. Comme ceux qui sont plus relaxes y performent moins bien, on en conclue que les suggestions induisent la relaxation en réduisant la connectivité entre le centre frontal de détection de conflit et les centres latéraux ayant des fonctions de contrôle (disruption of functional interaction between medial frontal conflict-monitoring and lateral frontal control functions in hypnosis). Mon interprétation est que pour fonctionner, une séance de relaxation par hypnose doit donc nous amener, progressivement, de plus en plus, à ne nous concentrer que sur des acquis positivement centrés sur d’autres certitudes positives pour nous. La relaxation implique une immersion totale de la conscience dans un champ cognitif libre de tout conflit, de tout problème, de tout irritant possible. Métaphoriquement, nous désembrayons le centre de traitement cognitif volontairement orienté vers les buts et la résolution de problème. C’est tout simplement cela qui produit la relaxation intense qui caractérise l’hypnose.

Référence:

Egner, T. and Raz, A. Cognitive Control Processes and Hypnosis. (2007) In G. Jamieson (ed), Hypnosis and Conscious States: The Cognitive Neuroscience Perspective. London: Oxford University Press 
http://sites.google.com/site/egnerlab/publications

Impact de l’anxiété sur les performances cognitives.

L’anxiété affecte négativement les ressources cognitives. MacLeod et Donnellan (1993) ont demandé à des sujets anxieux et non anxieux de résoudre des problèmes de raisonnement verbal tout en maintenant en mémoire une liste de mots. Lorsque la liste de mots était plus longue, ce qui représentait une surcharge élevée pour la mémoire de travail, les sujets anxieux étaient plus lents à solutionner les problèmes. Cette autre étude démontre comment l’anxiété de certains élèves est souvent associée avec de faibles résultats scolaires. Les élèves plus anxieux y prennent plus de temps à compléter une tâche taxant lourdement la mémoire de travail. Les auteurs expliquent, en se basant sur la théorie de l’efficience, qu’en augmentant, l’anxiété provoque des inquiétudes, pensées angoissantes, appréhensions et craintes qui viennent diminuer l’efficience des ressources cognitives disponibles pour faire le travail. Les auteurs de cette théorie ont même constaté que l’anxiété pouvait diminuer la réponse aux motivateurs extrinsèques comme les récompenses. Les sujets anxieux étant trop préoccupés par leurs inquiétudes, ils ne pouvaient prendre pleinement conscience des enjeux et donc, être motivés par des récompenses. Calvo, M. G. (1985). Effort, aversive representations and performance in test anxiety. Personality and Individual Differences, 6, 563–571. Eysenck, M. W., & Calvo, M. G. (1992). Anxiety and performance: The processing efficiency theory. Cognition and Emotion, 6, 409–434. Hadwin, J.A., Brogan, J. & Stevenson, J. (2005). State Anxiety and Working Memory in Children: A test of processing efficiency theory, Educational Psychology, 25 (4), 379–393. MacLeod C., Donnellan A.M. (1993). Individual differences in anxiety and the restriction of working memory capacity, Personality and Individual Differences, 15 (2), pp. 163-173.

Impact de l’anxiété sur les performances cognitives.

L’anxiété affecte négativement les ressources cognitives. MacLeod et Donnellan (1993) ont demandé à des sujets anxieux et non anxieux de résoudre des problèmes de raisonnement verbal tout en maintenant en mémoire une liste de mots. Lorsque la liste de mots était plus longue, ce qui représentait une surcharge élevée pour la mémoire de travail, les sujets anxieux étaient plus lents à solutionner les problèmes. Cette autre étude démontre comment l’anxiété de certains élèves est souvent associée avec de faibles résultats scolaires. Les élèves plus anxieux y prennent plus de temps à compléter une tâche taxant lourdement la mémoire de travail. Les auteurs expliquent, en se basant sur la théorie de l’efficience, qu’en augmentant, l’anxiété provoque des inquiétudes, pensées angoissantes, appréhensions et craintes qui viennent diminuer l’efficience des ressources cognitives disponibles pour faire le travail. Les auteurs de cette théorie ont même constaté que l’anxiété pouvait diminuer la réponse aux motivateurs extrinsèques comme les récompenses. Les sujets anxieux étant trop préoccupés par leurs inquiétudes, ils ne pouvaient prendre pleinement conscience des enjeux et donc, être motivés par des récompenses. Calvo, M. G. (1985). Effort, aversive representations and performance in test anxiety. Personality and Individual Differences, 6, 563–571. Eysenck, M. W., & Calvo, M. G. (1992). Anxiety and performance: The processing efficiency theory. Cognition and Emotion, 6, 409–434. Hadwin, J.A., Brogan, J. & Stevenson, J. (2005). State Anxiety and Working Memory in Children: A test of processing efficiency theory, Educational Psychology, 25 (4), 379–393. MacLeod C., Donnellan A.M. (1993). Individual differences in anxiety and the restriction of working memory capacity, Personality and Individual Differences, 15 (2), pp. 163-173.

SPARK

Spark est le titre d'un livre très inspirant écrit par John Ratey qui est professeur de psychiatrie à la « Harvard Medical School ». On peut consulter son site à l’adresse suivante : http://johnratey.typepad.com/blog/ Il rapporte des recherches selon lesquelles l’exercice physique peut réduire les symptômes du trouble déficitaire de l’attention, et peut contribuer positivement au développement du cerveau et de ses fonctions comme la mémoire et le raisonnement. Il a écrit un livre très inspirant sur le sujet : http://www.johnratey.com/articles/SPARK%20Flyer.pdf

SPARK

Spark est le titre d'un livre très inspirant écrit par John Ratey qui est professeur de psychiatrie à la « Harvard Medical School ». On peut consulter son site à l’adresse suivante : http://johnratey.typepad.com/blog/ Il rapporte des recherches selon lesquelles l’exercice physique peut réduire les symptômes du trouble déficitaire de l’attention, et peut contribuer positivement au développement du cerveau et de ses fonctions comme la mémoire et le raisonnement. Il a écrit un livre très inspirant sur le sujet : http://www.johnratey.com/articles/SPARK%20Flyer.pdf

Comment réaliser ses objectifs

Pour réaliser nos objectifs, il faut les compartimenter en petites étapes réalisables. Chaque réalisation permettra d'augmenter la motivation car elle sera vécue comme un succès. De plus, les apprentissages sont plus significatifs si on répartit le temps d’études en petites périodes. L'activité physique est également un "must" pour réaliser d'autres objectifs. Elle stimule, entre autres par la production d'endorphine, l'activation du cerveau et augmentent la motivation. Pour réaliser nos objectifs, il faut planifier leur réalisation, et cela de façon détaillée. On ne doit pas improviser. L'environnement, c'est-à-dire le lieu et le moment, doit être choisi avec jugement. Par exemple, il ne faut pas espérer se concentrer sur un travail si la télé est ouverte et que l'émission nous intéresse. On doit plutôt planifier un temps à la bibliothèque. Enfin, il faut créer une habitude. Ce n’est qu’une fois la planification intégrée dans notre routine quotidienne, qu’on peut espérer atteindre nos buts. Et progresser, jour après jour, lentement mais sûrement.

Comment réaliser ses objectifs

Pour réaliser nos objectifs, il faut les compartimenter en petites étapes réalisables. Chaque réalisation permettra d'augmenter la motivation car elle sera vécue comme un succès. De plus, les apprentissages sont plus significatifs si on répartit le temps d’études en petites périodes. L'activité physique est également un "must" pour réaliser d'autres objectifs. Elle stimule, entre autres par la production d'endorphine, l'activation du cerveau et augmentent la motivation. Pour réaliser nos objectifs, il faut planifier leur réalisation, et cela de façon détaillée. On ne doit pas improviser. L'environnement, c'est-à-dire le lieu et le moment, doit être choisi avec jugement. Par exemple, il ne faut pas espérer se concentrer sur un travail si la télé est ouverte et que l'émission nous intéresse. On doit plutôt planifier un temps à la bibliothèque. Enfin, il faut créer une habitude. Ce n’est qu’une fois la planification intégrée dans notre routine quotidienne, qu’on peut espérer atteindre nos buts. Et progresser, jour après jour, lentement mais sûrement.
Saviez-vous que la mémoire est auto-associative? Chez l’humain, la mémoire est auto-associative, c'est-à-dire qu’à l’opposé de la mémoire d’un ordinateur, le cerveau peut reconstituer un réseau de connaissances à partir de suggestions partielles ou d'induction de données incomplètes. À partir de dette induction, notre cerveau agit comme dans un jeu du style "relier les points entre eux" et active la mémoire d'une image, d'une pensée, d'un son.
Depuis l'antiquité, des méthodes de mémorisation exploitent cette particularité du fonctionnement de la mémoire. C'est en s'appuyant sur ce mécanisme caractéristique que fonctionnent la plupart des mnémotechniques et également des inductions de détente où le but est d'essayer de se remémorer des situations de plaisir et de détente paisible afin de les revivre à l'aide de notre mémoire. Référence : http://people.sissa.it/~ale/limbo1.html
Saviez-vous que la mémoire est auto-associative? Chez l’humain, la mémoire est auto-associative, c'est-à-dire qu’à l’opposé de la mémoire d’un ordinateur, le cerveau peut reconstituer un réseau de connaissances à partir de suggestions partielles ou d'induction de données incomplètes. À partir de dette induction, notre cerveau agit comme dans un jeu du style "relier les points entre eux" et active la mémoire d'une image, d'une pensée, d'un son.
Depuis l'antiquité, des méthodes de mémorisation exploitent cette particularité du fonctionnement de la mémoire. C'est en s'appuyant sur ce mécanisme caractéristique que fonctionnent la plupart des mnémotechniques et également des inductions de détente où le but est d'essayer de se remémorer des situations de plaisir et de détente paisible afin de les revivre à l'aide de notre mémoire. Référence : http://people.sissa.it/~ale/limbo1.html

Que faire si mon enfant, élève au primaire, est pris à tricher ou à copier?

Voici la réponse que j'ai donné a quelqu'un me demandant « comment je formulerais une recommandation aux parents d’un enfant élève du primaire pris à copier ». Voici ma réponse! Si l’évènement est isolé, l’enfant a probablement déjà eu une discussion avec son enseignante et il a compris que son geste n’était pas acceptable en classe, que s’il copiait, il n’apprendrait pas. Il faut donc renforcer le message de l’enseignante à la maison. Habituellement, ce genre de comportement reste isolé et est a classé dans la catégorie PPPSC pour « pitreries passagères du primaire sans conséquence ». Par contre, s’il s’avérait qu’il y ait récidive, il faut traiter le comportement comme un symptôme révélant, pour un élève, un stress, une tension, une anxiété. Est-ce que l’élève cherche à cacher une difficulté d’apprentissage ? Est-ce qu’il y a eu un changement d’enseignante et est-ce que l’adaptation à ce changement produit une anxiété provoquant l’anxiété ou la peur de ne pas être à la hauteur. Est-ce que l’enseignante met l’accent sur la performance aux tests, plutôt que sur la maîtrise des compétences ? Avec des outils comme le portfolios, la copie est rendue obsolète, car les travaux y figurant doivent, par définition, être des originaux. Dans ces cas plus complexes, il faut demander à rencontrer l’enseignante et/ou un professionnel comme une orthopédagogue ou un psychologue, pour élaborer un plan d’intervention ciblant les objectifs appropriés.

Référence: http://www.sciencedaily.com/releases/2009/08/090810025249.htm

Que faire si mon enfant, élève au primaire, est pris à tricher ou à copier?

Voici la réponse que j'ai donné a quelqu'un me demandant « comment je formulerais une recommandation aux parents d’un enfant élève du primaire pris à copier ». Voici ma réponse! Si l’évènement est isolé, l’enfant a probablement déjà eu une discussion avec son enseignante et il a compris que son geste n’était pas acceptable en classe, que s’il copiait, il n’apprendrait pas. Il faut donc renforcer le message de l’enseignante à la maison. Habituellement, ce genre de comportement reste isolé et est a classé dans la catégorie PPPSC pour « pitreries passagères du primaire sans conséquence ». Par contre, s’il s’avérait qu’il y ait récidive, il faut traiter le comportement comme un symptôme révélant, pour un élève, un stress, une tension, une anxiété. Est-ce que l’élève cherche à cacher une difficulté d’apprentissage ? Est-ce qu’il y a eu un changement d’enseignante et est-ce que l’adaptation à ce changement produit une anxiété provoquant l’anxiété ou la peur de ne pas être à la hauteur. Est-ce que l’enseignante met l’accent sur la performance aux tests, plutôt que sur la maîtrise des compétences ? Avec des outils comme le portfolios, la copie est rendue obsolète, car les travaux y figurant doivent, par définition, être des originaux. Dans ces cas plus complexes, il faut demander à rencontrer l’enseignante et/ou un professionnel comme une orthopédagogue ou un psychologue, pour élaborer un plan d’intervention ciblant les objectifs appropriés.

Référence: http://www.sciencedaily.com/releases/2009/08/090810025249.htm

« La motivation en contexte scolaire »

Dans son livre « La motivation en contexte scolaire », Rolland Viau répond à cette question. La motivation est d’abord déterminée par la perception de la valeur d’une activité d’apprentissage, soit son utilité dans la vie ou son instrumentalité en termes d’accès à des études supérieures, par exemple. La motivation scolaire d’un élève est également déterminée par sa perception de sa capacité à apprendre, de sa compétence, de son efficacité à contrôler son rendement et ses performances dans les tâches scolaires. Par exemple, si on le questionne sur ses attributions, il pourra identifier correctement à quoi ses succès et échecs sont dus et s’il en est responsable. Comment la motivation influence-t-elle la performance scolaire ? La motivation à elle seule, ne suffit pas. Même très motivé pour réussir à progresser dans ses apprentissages, l’élève doit faire le choix d’étudier et d’apprendre. Il doit y avoir un passage à l’acte. L’élève doit s’engager dans sa tâche d’apprenant. Cet engagement se révèle lorsqu’un élève contourne les obstacles et fait montre de persévérance devant les difficultés inhérentes aux activités d’apprentissages. Par exemple, devant une incompréhension, il demandera des explications supplémentaires au professeur, ou à ses amis. Il n’abandonnera pas sans avoir essayé diverses stratégies de solution de problème. Qu’est-ce qui détermine l’engagement à faire ce choix d’étudier ? Comme pour tous les choix, le principal déterminant de ce choix d’étudier est la priorité qu’on lui donne dans notre vie, dans notre projet de vie. Voici comment je résume ce modèle :
Référence:

« La motivation en contexte scolaire »

Dans son livre « La motivation en contexte scolaire », Rolland Viau répond à cette question. La motivation est d’abord déterminée par la perception de la valeur d’une activité d’apprentissage, soit son utilité dans la vie ou son instrumentalité en termes d’accès à des études supérieures, par exemple. La motivation scolaire d’un élève est également déterminée par sa perception de sa capacité à apprendre, de sa compétence, de son efficacité à contrôler son rendement et ses performances dans les tâches scolaires. Par exemple, si on le questionne sur ses attributions, il pourra identifier correctement à quoi ses succès et échecs sont dus et s’il en est responsable. Comment la motivation influence-t-elle la performance scolaire ? La motivation à elle seule, ne suffit pas. Même très motivé pour réussir à progresser dans ses apprentissages, l’élève doit faire le choix d’étudier et d’apprendre. Il doit y avoir un passage à l’acte. L’élève doit s’engager dans sa tâche d’apprenant. Cet engagement se révèle lorsqu’un élève contourne les obstacles et fait montre de persévérance devant les difficultés inhérentes aux activités d’apprentissages. Par exemple, devant une incompréhension, il demandera des explications supplémentaires au professeur, ou à ses amis. Il n’abandonnera pas sans avoir essayé diverses stratégies de solution de problème. Qu’est-ce qui détermine l’engagement à faire ce choix d’étudier ? Comme pour tous les choix, le principal déterminant de ce choix d’étudier est la priorité qu’on lui donne dans notre vie, dans notre projet de vie. Voici comment je résume ce modèle :
Référence:

jeudi 2 février 2012

Ressources pour les parents ADOQ, AQUETA, Ordre des psychologues


 
ADOQ (Association des orthopédagogues du Québec)
4246, rue Jean-Talon est, Bureau 18
St-Léonard (Qué.)
H1S 1J8
Téléphone :  514 374-5883>
http://www.adoq.org/
 
 
A.Q.E.T.A. (Association des troubles de l'apprentissage)
284, rue Notre-Dame ouest, suite 300
Montréal (Qué.)
H2Y 1J7
Téléphone :  514 847-1324
http://aqeta.qc.ca/
 
 
OOAQ (L'Ordre des orthophonistes et audiologistes du Québec)
235, Boul. René Lévesque est, bureau 601
Montréal (Qué.)
H2X 1N8
Téléphone :  514 282-9123
http://www.ooaq.qc.ca/
 
 
Ordre des psychologues du Québec
1100, Ave Beaumont, bureau 510
Montréal (Qué.)
H3P 3H5
Téléphone :  514 738-1881
http://www.ordrepsy.qc.ca/
 
 
Faculté de psychologie de l'Université de Montréal (consultation)
École de psychoéducation
Pavillon Marie-Victorin
90, Ave Vincent d’Indy
Montréal (Qué.)
H2Y 2S9
Téléphone :  514 343-7402
http://www.umontreal.ca/
 
 
Ordre des ergothérapeutes du Québec
2021, Ave Union, bureau 920
Montréal (Qué.)
H3A 2S9
Téléphone :  514 844-5778
http://www.oeg.org/
 
 
CLSC Mercier-Est Anjou
9403, Sherbrooke est
Montréal (Qué.)
H1L 6P2
Téléphone :  514 356-2572
http://www.clsc.mercier-est-anjou.qc.ca/
 
 
Clinique de la lecture et de l'écriture
83, St-Joseph ouest, bureau 1
Montréal (Qué.)
H2T 2P5
Téléphone :  514 279-4673
http://www.cliniquedelecture.com/
 

Activités de lecture



Apprendre la lecture en s'amusant, c'est possible!
 
Voici des didacticiels et des jeux de lecture et de grammaire qui permettent aux élèves accompagnés ou non d'un adulte d'apprendre en s'amusant sur le web.  Ils peuvent, par exemple, favoriser l'apprentissage de la lecture des syllabes, de mots ou de textes.

 
 
 
PLUS QUE DES JEUX!
PEPIT est un acronyme de :
Partenariat, écoute, proximité, intégration, transparence

C'est un site belge, vraiment très riche. C'est plus que des jeux, c'est vraiment une ressource qui met les technologies de l'information au service des apprentissages.
 

Voici des jeux de lecture qu'une enseignante a compilé pour ses élèves! C'est très
 
intéressant.

 
 
Ce site du Luxembourg propose des exercices interactifs avec autocorrection.
Au menu : orthographe, grammaire, verbes, vocabulaire, expression écrite et culture générale.
 

Voici d'autres jeux de lecture que j'ai trouvé à l'adresse suivante:  PTITCLIC
 
 
 
 
Ce site contient beaucoup de suggestion de jeux didactiques qui permettent d'apprendre en jouant.

Il y a également le site  Ortholud qui contient beaucoup de jeux permettant l'apprentissage
 
de la lecture, le développement du vocabulaire ou de la compréhension de texte.

On y retrouve par exemple ce jeu du bohomme avec une banque de 150 mots!
 
 
 
 
Ce site contient des jeux multimédias très intéressant pour développer la compréhension de lecture. 
 
 
ARTICULER propose des exercices d'articulation du genre "un chasseur sachant chasser".
 
 
Voici une série de CONTES classiques illustrés.
 
 

Mathématiques



Voici des didactidiels permettant aux élèves accompagnés ou non d'un adulte d'apprendre en s'amusant sur le web. 

 
PEPIT est un acronyme de partenariat, écoute, proximité, intégration, transparence.  Il contient des
 
exercices en mathématique.
 
 
LE MATOU MATEUX  propose des exercices interactifs de calcul.
 
 
MATHÉMATIQUE MAGIQUE propose des exercices animés qui font
 
réfléchir.
 
HISTOIRE DE CHIFFRES contient des tests de logique et des exercices.
 
 
RÉCRÉOMATH est un site d'outils et une banque de problèmes récréatifs en math.
 
 

 
D'autres sites web pour réussir à l'école sont affichés sur la page